
Braisaz-Bouchet Chevalier-Bouchet Lien De Parenté : Le biathlon français brille sur la scène internationale grâce à ses athlètes d’exception. Parmi elles, deux noms ressortent particulièrement : Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet. Ces deux championnes ne partagent pas seulement la passion du biathlon, mais aussi un nom de famille commun. Plongeons dans l’histoire de ces deux sportives d’élite et explorons le lien qui les unit.
Deux étoiles montantes du biathlon français
Le biathlon français brille sur la scène internationale grâce à ses athlètes d’exception. Parmi elles, deux noms ressortent particulièrement : Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet. Ces deux championnes ne partagent pas seulement la passion du biathlon, mais aussi un nom de famille commun. Plongeons dans l’histoire de ces deux sportives d’élite et explorons le lien qui les unit.
Justine Braisaz-Bouchet : un palmarès éclatant
Née le 4 juillet 1996 à Albertville, Justine Braisaz-Bouchet s’est rapidement imposée comme l’une des meilleures biathlètes de sa génération. Son palmarès comprend notamment :
- Une médaille d’or olympique en mass start aux Jeux de Pékin 2022
- Une médaille de bronze olympique en relais mixte aux Jeux de Pyeongchang 2018
- Plusieurs victoires en Coupe du monde
Sa technique de ski fluide et sa précision au tir font d’elle une athlète redoutable sur tous les terrains.
Anaïs Chevalier-Bouchet : une carrière couronnée de succès
Née le 12 février 1993 à Saint-Martin-d’Hères, Anaïs Chevalier-Bouchet a également marqué l’histoire du biathlon français. Parmi ses réalisations, on peut citer :
- Une médaille d’argent olympique en individuel aux Jeux de Pékin 2022
- Une médaille de bronze olympique en relais aux Jeux de Pyeongchang 2018
- De nombreux podiums en Coupe du monde
Sa régularité et sa force mentale en font une compétitrice redoutable, particulièrement appréciée dans les épreuves de relais.
Le lien de parenté : une belle-famille unie par le biathlon
Contrairement à ce que leur nom pourrait laisser penser, Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet ne sont pas sœurs. En réalité, leur lien de parenté est celui de belles-sœurs. Voici comment s’articule cette relation familiale :
- Anaïs Chevalier a épousé Martin Bouchet en 2019, devenant ainsi Anaïs Chevalier-Bouchet.
- Justine Braisaz s’est mariée avec Julien Bouchet, le frère de Martin, en 2022, prenant le nom de Justine Braisaz-Bouchet.
Ainsi, les deux championnes sont devenues belles-sœurs par leurs mariages respectifs avec les frères Bouchet.
Une complicité au-delà du lien familial
Au-delà de leur lien de parenté, Justine et Anaïs partagent une complicité évidente, tant sur les pistes que dans la vie. Cette relation privilégiée se manifeste de plusieurs façons :
- Un soutien mutuel lors des compétitions
- Des entraînements communs au sein de l’équipe de France
- Un partage d’expériences et de conseils
L’importance de la famille dans le biathlon
Le biathlon est un sport où la dimension familiale joue souvent un rôle important. De nombreux athlètes sont issus de familles de biathlètes ou de skieurs. Dans le cas de Justine et Anaïs, leur lien familial renforce leur motivation et leur esprit d’équipe.
Les défis de la concurrence au sein d’une même famille
Être belles-sœurs et concurrentes peut parfois poser des défis. Justine et Anaïs doivent naviguer entre leur relation familiale et leur ambition sportive individuelle. Cependant, elles ont su trouver un équilibre, comme en témoigne Justine dans une interview accordée à Nordic Mag :
“Anaïs sait qu’elle peut compter sur moi si elle en a besoin, et c’est réciproque. Notre lien familial renforce notre esprit d’équipe.”
L’avenir du biathlon français avec les Bouchet
L’association des talents de Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet promet un avenir radieux pour le biathlon français. Leur complémentarité et leur expérience collective sont des atouts majeurs pour l’équipe de France.
Ayant vécu une situation similaire il y a quelques années, Anaïs Chevalier-Bouchet assure à Nordic Magazine qu’elle n’hésitera pas à donner des conseils à sa coéquipière Justine Braisaz-Bouchet concernant sa grossesse. La vétéran française du biathlon féminin et joueuse majeure Justine Braisaz-Bouchet a confirmé sa grossesse la semaine dernière.
En février de l’année dernière, Braisaz-Bouchet est devenue un élément indispensable de l’équipe après avoir remporté le titre olympique du départ groupé à Zhangjiakou, en Chine. En l’absence du Savoyard, une brèche va se creuser. Sa confidente dans le groupe est la Dauphinoise Anaïs Chevalier-Bouchet, qui était patiente à la maternité il y a peu.
Lors de son passage au Martin Fourcade Nordic Festival, l’Iséroise l’a avoué dans Nordic Magazine : “On en a déjà un peu parlé ensemble, mais elle souhaite qu’on prenne un peu plus de temps pour en discuter”. Même si chacun a sa propre expérience et ses propres choix, Justine Brasaz-Bouchet comprend qu’elle peut toujours compter sur mon soutien. Ma porte est constamment ouverte.
Selon les chroniques de Ski Chrono, la coéquipière de Justine Braisaz-Bouchet lui « a ouvert la voie » tout comme Marie Dorin-Habert. “Je trouve cela rassurant. Anaïs Chevalier-Bouchet, double médaille aux Jeux olympiques de 2022, affirme que le groupe n’aurait pas de mal à passer l’hiver qui approche sans le Savoyard. Par-dessus tout, vous devez garder à l’esprit que personne n’est clé.
Je suis convaincu qu’elle donnera tout ce qu’elle peut si elle s’engage à revenir après sa grossesse, Justine. Pour conclure, elle dit : “Je suis vraiment heureuse pour elle”. Il est clair que l’orateur a pris un engagement. Justine Braisaz-Bouchet, biathlète française, est née à Albertville le 4 juillet 1996. Aux Jeux olympiques de Pékin en 2022 et aux Championnats du monde de Nové Mesto en 2024, qui se sont déroulés à deux ans d’intervalle, elle a triomphé dans l’épreuve de départ groupé.
Aux Jeux olympiques d’été de 1992 aux Saisies, Justine Braisaz-Bouchet était une membre active du club sportif. Elle a rejoint l’équipe de France de biathlon des douanes en 2015 et court depuis. Elle remporte la Coupe du monde pour la première fois le 17 décembre 2017, lors de la mass start du Grand Bornand.
Aux Jeux olympiques de PyeongChang, elle a remporté le bronze au relais féminin avec l’aide de ses coéquipières Marie Dorin-Habert, Anaïs Chevalier et Anaïs Bescond. Le 12 mars, elle a finalement réussi à remporter le bronze au 15 kilomètres individuel aux championnats du monde, malgré une terrible saison 2018-2019 dans l’ensemble.
Le départ groupé était la dernière épreuve féminine des Jeux olympiques de Pékin 2022, et Justine Braisaz-Bouchet l’a remporté le 18 février. Elle a battu les Norvégiennes Tiril Eckhoff et Marte Olsbu Røiseland, qui avaient remporté plusieurs médailles, jusqu’à la ligne d’arrivée grâce à ses tirs ultra-rapides et à sa vitesse de ski exceptionnelle, même si elle a dû endurer quatre tours de pénalité.
Elle est ainsi la deuxième Française à remporter une médaille d’or en individuel en biathlon, après Florence Baverel-Robert, qui l’avait fait il y a quinze ans aux JO de Turin 2006 en sprint. Suite à son succès lors de la Coupe du monde 2021-2022, elle a reçu le petit globe de cristal du départ en masse.
Elle n’a pas participé à la saison 2022-2023, mais elle a donné naissance à une fille pendant cette période. Avant son retour victorieux à la compétition lors de la saison 2023-2024, qui s’est terminée à Lenzerheide, seules sept biathlètes de l’histoire avaient déjà réalisé un triple sprint, poursuite et départ groupé. Aux Championnats du monde 2024, Justine Braisaz-Bouchet a remporté cinq médailles, dont trois pour le relais mixte, une pour le relais féminin et une pour le départ groupé.
Étapes initiales
Justine Braisaz s’est entraînée au biathlon et au ski de fond dans la division nordique au Club sportif des Saisies, où elle a fait ses débuts. En 2012, elle remporte les championnats de France cadettes (U16) de biathlon et de ski de fond, grâce à ses capacités de ski ultra-rapides.
Elle est passée au biathlon l’année suivante et a concouru dans la classe des jeunes U19.
Justine Braisaz s’est mal comportée aux Championnats du monde juniors 2013 après avoir été sélectionnée pour concourir à Obertilliach, en Autriche. Elle a terminé respectivement à la 46e position dans l’épreuve solo et à la 71e place dans le sprint, après avoir tiré huit fois dans chacune.
En tant que Championne de France Junior, elle a remporté les épreuves de sprint et de poursuite aux Championnats de France 2013 à Prémanon, qui se sont déroulés en décembre. Elle a fait ses débuts aux championnats du monde lors de la Coupe IBU en janvier 2014, lors des deux étapes qui se sont déroulées à Ridnaun.
Elle a participé à trois sprints et, malgré de nombreux biathlètes seniors, elle a réussi à entrer dans les points à deux reprises. Par la suite, elle a participé aux épreuves juniors organisées aux Championnats d’Europe à Nové Město na Moravě. Ses résultats individuels étaient deuxonze, dix-huitième, quatorzième et dix-huitième, respectivement ; elle termine neuvième au relais mixte aux côtés de Chloé Chevalier, Dany Chavoutier et Clément Dumont.
À la fin de l’hiver 2014, elle s’est rendue à Presque Isle, aux États-Unis, pour les Championnats du monde juniors, même si elle était encore loin derrière ses rivales juniors. Elle termine 29e en solo, 5e en sprint, 15e en poursuite et 6e en relais aux côtés de Coline Varcin et Chloé Chevalier.
Aux Championnats de France en mars, elle termine deuxième du départ groupé juniors, juste derrière Julie Cardon. C’était la dernière course de sa saison. Sa capacité à participer aux courses du July Biathlon July Tour aux côtés des meilleures dames françaises est une indication claire de ses progrès.
La saison 2014-2015
À Beitostølen, lors de la phase d’ouverture de la saison 2014-2015 de la Coupe IBU, Justine Braisaz a obtenu son premier podium en se classant deuxième du deuxième sprint. La veille, elle avait réalisé son meilleur résultat dans cette épreuve à la sixième place. Lors de sa première compétition internationale, elle a réussi à monter sur le podium à la Coupe du monde de biathlon, malgré son jeune âge.
Conclusion : un duo gagnant pour le biathlon français
Le lien de parenté entre Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet va au-delà d’une simple relation familiale. C’est une alliance de talents, de passion et de détermination qui propulse le biathlon français vers les sommets. Leur histoire inspire non seulement les jeunes athlètes, mais aussi tous ceux qui croient en la puissance des liens familiaux dans le sport de haut niveau.
