
Brice Hortefeux Et Sa Nouvelle Compagne – L’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux a fait l’objet de nombreuses spéculations médiatiques concernant sa vie amoureuse ces dernières années. Malgré sa discrétion, les détails sur sa nouvelle compagne ont suscité un vif intérêt auprès du public français, en particulier après les accusations de blanchiment de fraude fiscale visant cette dernière.
Qui est la nouvelle compagne de Brice Hortefeux ?
Peu d’informations ont été révélées sur l’identité de la femme qui partage actuellement la vie de l’ancien homme politique. Cependant, selon les médias, il s’agirait d’une ancienne danseuse et productrice de ballet dont les activités professionnelles auraient attiré l’attention des autorités judiciaires.
Les soupçons de blanchiment de fraude fiscale
En 2019, des perquisitions ont été menées au domicile de la compagne de Brice Hortefeux dans le cadre d’une enquête pour blanchiment de fraude fiscale aggravée. Les investigations visaient à déterminer l’origine de fonds considérables présents sur les comptes bancaires de cette dernière.
La réaction de Brice Hortefeux
Face à cette affaire médiatisée, Brice Hortefeux est resté discret, ne faisant aucun commentaire public sur la situation. Cependant, des sources proches de l’ancien ministre ont souligné qu’il n’était en aucun cas impliqué dans les soupçons pesant sur sa compagne.
A Neuilly-sur-Seine (Seine), Brice Hortefeux est né le 11 mai 1958. Aux côtés de Nicolas Sarkozy, il a été ministre délégué chargé des collectivités territoriales de 2005 à 2007, ministre de l’Immigration de 2007 à 2009, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité en 2009, puis ministre de l’Intérieur et de l’Outre-mer de 2009 à 2011 membre du RPR, de l’UMP et du LR.
Avec Nicolas Sarkozy, Claude Guéant et Thierry Gaubert, il est poursuivi pour association de malfaiteurs, et financement illégal de campagne électorale, dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi. Il a obtenu une licence de droit privé en 1982 et une maîtrise de droit public en 1984 à l’Université Paris-Nanterre.
Son père était banquier à Neuilly-sur-Seine et sa mère était professeur d’histoire et de géographie. Il fréquente ensuite l’Institut d’études politiques de Paris, d’où il sort en 1986 note 4 sans diplôme. Diplômé de Sciences Po, Brice Hortefeux a devancé les candidats extérieurs au poste d’administrateur territorial.
Expertise dans le domaine
De 1983 à 1986, il est directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, maire de Neuilly-sur-Seine. De 1986 à 1994, il est administrateur territorial, basé à la mairie de Neuilly-sur-Seine. De 1993 à 1995, il est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement. Brice Hortefeux a été chargé de mission au cabinet du président du Sénat de 1998 à 1999 après avoir été nommé préfet en 1995, poste impliquant une mission de service public soutenue par l’État.
Il a demandé et obtenu l’autorisation de prendre sa retraite le 1er décembre 2020, en octobre 2020. Il est membre du RPR Jeunesse lors de la campagne présidentielle de Jacques Chirac en 1981, aux côtés de Nicolas Sarkozy et Roger Karoutchi. Il a été membre du comité politique du RPR de 1998 à 2002 après avoir été secrétaire départemental de la fédération RPR du Puy-de-Dôme de 1991 à 2001.
Il a été élu au conseil régional d’Auvergne lors des élections régionales de 1992 et a été président de la commission des finances et rapporteur du budget de 1998 à 2004. Il se présente dans la 1ère circonscription du Puy-de-Dôme comme candidat du RPR aux élections législatives de 1993. Michel Fanget, candidat de l’UDF, et Maurice Pourchon, député PS sortant, sont ses adversaires.
Le candidat retenu au second tour, Brice Hortefeux, a obtenu 16,49% des suffrages, tandis que le PS en a obtenu 24,05% et l’UDF 23,37%. Brice Hortefeux a succédé à Nicolas Sarkozy comme député européen après la démission de ce dernier de son poste en septembre 1999. Il a été conseiller de Nicolas Sarkozy de 2002 à 2004, d’abord comme ministre de l’Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales, puis comme ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie.
Il rejoint le bureau politique de l’UMP en 2002 et y reste jusqu’en 2004. Sur la liste d’union UMP-UDF dirigée par Valéry Giscard d’Estaing, il a été réélu conseiller régional d’Auvergne dans le Puy-de-Dôme lors des élections régionales des 21 et 28 mars 2004.
Après avoir mené la campagne UMP-UDF dans le siège du Massif central-Centre aux élections européennes de 2004, il continue d’exercer les fonctions de président de l’UMP dans le Puy-de-Dôme et de secrétaire général adjoint du parti, tout en conservant son mandat. au Parlement européen.
Délégué aux collectivités locales (Ministre) de 2005 à 2007
Dans l’administration de Dominique de Villepin, il est nommé ministre délégué auprès du ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire, chargé des Collectivités territoriales, le 2 juin 2005. Brice Hortefeux est notamment chargé de réformer le statut de la fonction publique territoriale et de mettre en pratique l’acte II de la décentralisation.
Ministre de l’Immigration (2007-2009)
François Fillon a nommé Nicolas Sarkozy au poste de ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Co-développement après la victoire de Sarkozy à l’élection présidentielle de 2007. Un engagement de campagne pris par Nicolas Sarkozy a conduit à la création de ce poste. Jean-Claude Gaudin le nomme ensuite conseiller politique de l’UMP et il démissionne de son poste de secrétaire général adjoint du parti.
Parallèlement aux mesures Sarkozy votées en 2003 et 2006, il a défendu le projet de loi sur le contrôle de l’immigration voté le 23 octobre 2007, qui resserre la vis sur l’immigration. Plus précisément, cette loi restreint la possibilité de réunir les familles. Les objectifs de nombre d’expulsions et d’expulsions vers la frontière fixés par la police sont les suivants : 25 000 en 2007 ; 26 000 en 2008 ; et 28 000 en 2010.
Les expulsions de Roumains, de Bulgares et d’autres personnes bénéficiant de la libre circulation dans toute l’Europe ne sont pas prises en compte dans l’évaluation d’Hortefeux ; Pourtant, les expulsions d’étrangers en situation irrégulière atteignent environ la moitié des objectifs visés.
Il s’est retiré des élections municipales de Clermont-Ferrand de 2008, selon un communiqué préalable communiqué SS fait au journal La Montagne le 30 novembre 2007. Selon Le Canard aîné, il ne se présente pas en raison de la faiblesse des sondages, mais officiellement, il affirme que l’honnêteté consiste à assurer la réussite des responsabilités qui [lui] sont confiées par le Président de la République, telle est sa raison.
Son poste ministériel a été rebaptisé de Codéveloppement, à Développement Solidaire, lors de la réorganisation ministérielle qui a suivi ces élections. Courant 2008, Brice Hortefeux espère que les centres correctionnels pourront bénéficier de l’intervention d’autres associations que la Cimade.
Après jugement, le tribunal administratif a invalidé l’appel d’offres. Gisti et les autres plaignants ont vu dans cette démarche une tentative visant à séparer la Cimade des camps de détention pour migrants et à réduire l’assistance juridique aux immigrants. Brice Hortefeux est nommé ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville le 15 janvier 2009, succédant à Xavier Bertrand, qui prend la direction de l’UMP.
L’ancien socialiste Éric Besson retrouve ses anciennes fonctions. Sur une liste qui a recueilli 93% des voix au conseil national du parti, Brice Hortefeux a été choisi neuf jours plus tard vice-président de l’UMP. Il a été élu membre du Parlement européen à l’issue des élections européennes de 2009. La surprenante troisième place de Brice Hortefeux sur la liste UMP de la circonscription Massif central-Centre un siège qui aurait été à gagner lors d’une élection proportionnelle–a semé le doute sur la prévisibilité de ce scrutin.
Selon l’Élysée, il “n’avait pas pris l’engagement d’être sur les listes pour être élu” et ne tiendrait pas une des promesses de l’UMP, qui précise que “les candidats de la majorité présidentielle s’engagent à être présents au Parlement européen en Strasbourg et Bruxelles”. Cela implique qu’il restera au gouvernement. Il est remplacé par Catherine Soullie.
Secrétaire d’État à l’intérieur et à l’étranger (2009-2011)
Outre-mer et Collectivités territoriales, ainsi que ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux a été nommé le 23 juin 2009. Dans son discours d’investiture place Beauvau, il a notamment appelé au droit à la sécurité partout et pour tous, qu’il doit désormais remplir. Il nomme Marie-Luce Penchard secrétaire d’État à l’Outre-mer et Alain Marleix secrétaire d’État à l’intérieur et aux collectivités territoriales.
Parmi les faits marquants de son année au ministère de l’Intérieur figurent 150 visites aux victimes, une baisse de la délinquance de 2,91%, une réconciliation entre police et gendarmerie (bien qu’au léger désavantage de la gendarmerie) et la subvention de 6 100 nouvelles caméras au premier semestre. moitié de 2010.
Conclusion
Bien que les détails de cette relation restent flous, l’histoire de Brice Hortefeux et de sa nouvelle compagne a suscité de nombreuses interrogations et controverses dans l’opinion publique française. Cette affaire souligne une fois de plus l’importance de la transparence et de l’intégrité pour les figures publiques et leurs proches.
