
Eugénie Bastié Qui Est Son Mari – Eugénie Bastié, journaliste, polémiste et essayiste française, est connue pour ses prises de position engagées et son style incisif. Mais qu’en est-il de sa vie privée, et notamment de son mari ? Dans cet article, nous lèverons le voile sur l’homme qui partage la vie de cette personnalité médiatique incontournable.
Eugénie Bastié, une figure médiatique marquante
Née le 18 novembre 1991 à Toulouse, Eugénie Bastié s’est imposée comme une voix singulière dans le paysage médiatique français. Diplômée de Sciences Po et de l’ESCP Europe, elle a rapidement fait ses preuves en tant que journaliste, collaborant avec des titres prestigieux tels que Le Figaro, Causeur ou encore Le Point. Son style direct et ses analyses tranchées lui ont valu une notoriété grandissante, faisant d’elle une figure incontournable du débat public.
Une vie privée discrète
Si Eugénie Bastié est connue pour son engagement et ses prises de position publiques, elle reste en revanche très discrète sur sa vie privée. Peu d’informations ont filtré sur son mari, dont l’identité n’a pas été révélée. Cette volonté de préserver son intimité témoigne du souci de la journaliste de séparer sa vie personnelle de sa carrière professionnelle.
Ce que l’on sait du mari d’Eugénie Bastié
Bien qu’Eugénie Bastié soit restée discrète sur l’identité de son mari, quelques éléments ont été dévoilés au fil du temps. On sait notamment qu’il travaille dans le milieu de la finance et qu’il partage avec la journaliste une passion pour les débats d’idées et l’engagement politique. Leur couple, uni par des valeurs communes, semble solide et épanoui, malgré les contraintes liées à la notoriété d’Eugénie Bastié.
Une vie de famille épanouie
Malgré le rythme effréné de sa carrière, Eugénie Bastié semble avoir trouvé un équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie familiale. Dans de rares interviews, elle a évoqué l’importance de son mari et de ses proches dans son parcours, soulignant leur soutien indéfectible. Cette stabilité personnelle lui permet de s’investir pleinement dans son travail, tout en préservant un espace intime propice à son épanouissement.
Élisabeth Lévy et Natacha Polony l’ont financée à ses débuts et elle a travaillé pour le journal conservateur Causeur et le média d’opinion d’extrême droite Le Figaro Vox. Par la suite, elle trouve du travail comme journaliste au Figaro ; elle apporte actuellement des contributions éditoriales régulières à CNews.
En raison de ses opinions controversées sur les valeurs sociales et le féminisme et du tumulte qu’elle provoque à la télévision et sur Twitter, elle est devenue un symbole de l’extrême droite. Depuis son ascension au sein de la droite conservatrice à la fin des années 2010, elle participe à la renaissance médiatique de ses discours.
Qu’est-ce qui l’a causé et comment il a été créé
Eugénie Bastié est la pieuse fille catholique d’un paysagiste et d’un expert en médecine nucléaire ; elle a quatre frères et sœurs. Elle a passé ses années de formation dans la ville de Pibrac, située en Haute-Garonne, non loin de Toulouse. Après avoir terminé son internat au célèbre lycée catholique de Lectoure dans le Gers en 2009, elle est admise à l’Institut d’études politiques de Paris. Elle a complété sa maîtrise en 2014 et a franchi la ligne d’arrivée. Elle est également titulaire d’une maîtrise de philosophie de la Sorbonne Paris-IV.
Carrière
Elle a collaboré au site et au mensuel Causeur, dirigé par Élisabeth Lévy, de 2013 à 2015. « La plateforme d’extrême droite du Figaro », selon Rue89, qui a effectué un stage de six mois au FigaroVox jusqu’à ce que le Figaro l’embauche en 2015. Réunie avec Gaultier Bès, Marianne Durano, Camille Dalmas et Paul Piccarreta, elle a cofondé la revue « écologie intégrale » note 1 Limite en 2015.
Alors que la publication se présente comme « une revue de combat culturelle et politique, d’inspiration chrétienne », le quotidien Libération l’a qualifié de “jeune garde catholique ultraconservatrice”. Ce poste lui a été confié une fois qu’elle a été nommée rédactrice en chef de la section politique de la revue.
En 2019, elle quitte la publication en raison de désaccords avec sa stratégie éditoriale. En septembre 2015, lors du tournage de Ce soir (ou jamais), elle se livre à un duel oratoire sur la crise dite des migrants avec Jacques Attali. Elle a déclaré : « Le vieux monde est de retour, M. Attali », lors de leur interaction, et la réponse d’Attali, qui est devenue virale en ligne, était le résultat direct de ses paroles.
L’édition d’avril 2016 de son premier essai, « Adieu, Mademoiselle », a été publiée pour la première fois. Les Editions du Cerf étaient une course perdue pour les femmes. Selon les Inrockuptibles, il s’agit d’un pamphlet antiféministe. Le « patrimoine » est une notion qu’elle prétend soutenir, mais le « progrès » ne l’est certainement pas.
Selon l’auteur Gérard Leclerc du Royaliste, l’essai a été qualifié de « particulièrement dialectiquement ciselé, très informé et mettant le glaive au cœur même de l’un des débats les plus cruciaux de l’époque » au sein de la revue. Libération affirme qu’il critique « tout son livre sur le féminisme en occultant de façon spectaculaire les violences sexuelles, sauf pour parler de Cologne et stigmatiser les musulmans » pour cela.
Dans cet essai, Mediapart la présente comme l’une des trois figures antiféministes, aux côtés de Marianne Durano et Thérèse Hargot. En septembre 2016, elle fait une apparition dans le magazine Actualité de France 2. Un mois plus tard, elle a abandonné le programme et son embauche a suscité une polémique sur Twitter. Elle a débuté son métier de journaliste à la rubrique « débats et opinions » du Figaro en avril 2017.
Rejointe par Alain Finkielkraut et Régis Debray, elle a été invitée à l’Élysée en juin 2017 par Sylvain Fort. Fort leur a suggéré d’atténuer leurs critiques à l’égard de la politique libérale d’Emmanuel Macron lors de leur réunion. Le Cochon de fuite : Terreur ou Contre-Révolution, deuxième ouvrage des Editions du Cerf paru en octobre 2018, analyse le mouvement #MeToo sous un angle critique.
Partageant une citation de son livre, Léa Salamé déclare : “Je crois qu’une main sur les fesses n’a jamais tué personne”, une déclaration qu’elle a faite alors qu’elle était invitée par France Inter pour célébrer la publication. Durant la saison 2019-2020, elle participera à l’émission Et en siamois de BFM TV (présentée par Apolline de Malherbe) le dimanche soir et interviendra à l’émission de 19 heures.
Section du jeudi. Soyez à l’écoute pour entendre Alain Duhamel et Ruth Elkrief discuter de l’actualité du jour. Elle a débuté sa carrière éditoriale en juillet 2020 auprès de CNews. Selon L’Obs, qui a annoncé la nouvelle, CNews obtient un “bon marché” avec cette embauche, et La Dépêche a raison sur le côté conservateur de la chaîne d’information en continu.
À partir de mai 2021, elle co-animera l’émission de 19h émission de la chaîne Place aux idées avec la journaliste Clélie Mathias. En septembre 2021, sur Face à l’info de Christine Kelly, Éric Zemmour a été remplacé par Charlotte d’Ornellas, Mathieu Bock-Côté et Eugénie Bastié depuis que le CSA lui avait ordonném d’inclure son temps de parole dans la campagne présidentielle.
Deux émissions qu’elle anime depuis la rentrée 2022-2023 sont “Le Club des idées” sur Figaro TV et l’émission de revue de presse “Revue des hebdos et des idées” sur Europe 1. Ses idées l’ont plongé dans plus d’une crise, et certains médias sont même allés jusqu’à qualifier d’antiféministes ses positions contre le mouvement MeToo.
“Alterfeminist”, c’est l’étiquette qu’elle se donne. Malgré son opposition philosophique à l’avortement, Eugénie Bastié affirme ne pas s’opposer à la légalisation de l’opération. Elle déplore également le fait que certaines Françaises subissent des « pressions pour avorter » et n’ont pas d’autre choix.
Alors que se déroulait l’attentat terroriste du 23 mars 2018, Eugénie Bastié tweetait : “Ne jugeons pas trop vite cet homme en héros, il a peut-être été mis les mains aux fesses à Saint-Cyr.” C’est suite à l’entretien du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame avec le prisonnier que cela s’est produit. Le lycée militaire d’Arnaud Beltrame a été secoué par un incident hilarant de harcèlement sexuel.
La journaliste et son journal, Le Figaro, ont tous deux été critiqués pour ces propos. Le même jour, Eugénie Bastié tweetait une rétractation et des excuses. Utilisant le surnom de l’initiative « Wokipedia » un jeu de mot « éveillé » et qualifiant les auteurs de sa page Wikipédia de « crétins », Eugénie Bastié remet publiquement en question l’étiquette de « réactionnaire » le 20 octobre 2023.
Elle a besoin que ses abonnés Instagram modifient son article Wikipédia afin de pouvoir changer sa photo de profil. Sur Twitter, où elle compte 146 000 abonnés, elle a attaqué certaines personnes qui ont aidé à rédiger l’essai et a utilisé nommément le terme controversé. En raison de l’existence de sources secondaires qui soutiennent l’utilisation du qualificatif litigieux, l’article est resté inchangé même si les administrateurs de l’encyclopédie ont agi rapidement pour le protéger d’un examen externe ou d’une rédaction.
Choisir une position politique
Deux publications conservatrices, Le Point et Le Temps, l’ont qualifiée de telle. trente-deux jours. Même si elle soutient le capitalisme et la libre entreprise, elle doute de la croissance exponentielle. Selon différents témoignages, elle était « très proche » de l’Action Française et défendait activement ses idées en tant que membre fondatrice et contributrice clé de la source médiatique catholique conservatrice Limite et d’autres publications.
Conclusion
Eugénie Bastié, figure incontournable du paysage médiatique français, a su préserver sa vie privée malgré sa notoriété grandissante. Si l’identité de son mari reste un mystère pour le grand public, on sait que leur couple, uni par des valeurs communes, est un pilier essentiel dans la vie de la journaliste. Cette discrétion, loin d’être anecdotique, témoigne de la volonté d’Eugénie Bastié de séparer sa vie personnelle de son engagement public, une preuve supplémentaire de sa rigueur et de son professionnalisme.
