Stéphane Rozès Maladie: Le Combat Courageux d’un Essayiste Français

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Stephane Rozes Maladie
Stephane Rozes Maladie

Stephane Rozes Maladie – Stéphane Rozès, né le 22 avril 1957 à Paris, est un essayiste français reconnu. En 2002, il a survécu à un cancer tenace, une épreuve qui a profondément marqué sa vie et sa carrière. Cet article explore son parcours face à la maladie, les défis qu’il a surmontés et l’impact de cette expérience sur son œuvre.

Qui est Stéphane Rozès?

Stéphane Rozès est une figure influente dans le domaine de la politique et de la sociologie en France. Ancien directeur général de l’institut de sondages CSA, il est également président de Cap, un cabinet de conseil en stratégie d’opinion. En plus de son rôle de sondeur, il est un essayiste respecté, connu pour ses analyses profondes et pertinentes de la société française.

Le Diagnostic de Cancer

En 2002, Stéphane Rozès a été diagnostiqué avec un cancer tenace. Cette nouvelle a bouleversé sa vie, le confrontant à l’incertitude et à la peur. Cependant, il a décidé de faire face à cette épreuve avec courage et détermination.

Le Parcours de Traitement

Le parcours de traitement de Stéphane Rozès a été ardu et exigeant. Il a subi plusieurs cycles de chimiothérapie et de radiothérapie, et a dû faire face à des effets secondaires débilitants. Malgré tout, il est resté positif et résilient, inspirant de nombreux autres patients.

Citation de Stéphane Rozès

„La maladie m’a appris à relativiser et à apprécier chaque moment de la vie.“ – Stéphane Rozès

Cette citation reflète la philosophie de vie de Stéphane Rozès après son combat contre le cancer, mettant en lumière l’importance de la gratitude et de la résilience.

Le soutien de la famille et des amis a été crucial pour Stéphane Rozès pendant son traitement. Leur présence et leur encouragement lui ont donné la force de continuer à se battre contre la maladie.

Retour à la Vie Professionnelle

Après sa rémission, Stéphane Rozès a progressivement repris ses activités professionnelles. Il a continué à apporter des contributions significatives dans le domaine de la politique et des sondages, prouvant que la maladie n’avait pas diminué sa passion et son engagement.

L’Impact de la Maladie sur sa Carrière

L’expérience de la maladie a eu un impact profond sur la carrière de Stéphane Rozès. Elle lui a donné une nouvelle perspective sur la vie et le travail, le rendant encore plus déterminé à réussir et à faire une différence.

Stéphane Rozès et la Sensibilisation au Cancer

Fort de son expérience, Stéphane Rozès s’est engagé à sensibiliser le public à la lutte contre le cancer. Il participe à des conférences et des événements pour partager son histoire et encourager les autres à ne jamais abandonner.

Les Leçons de Vie Apprises

Le combat contre le cancer a enseigné de nombreuses leçons à Stéphane Rozès. Il a appris l’importance de la santé, de la famille et de la persévérance. Ces leçons continuent de guider sa vie quotidienne.

Les Projets Futurs de Stéphane Rozès

Malgré les défis passés, Stéphane Rozès continue de planifier et de poursuivre de nouveaux projets. Sa passion pour la politique et la sociologie reste intacte, et il aspire à continuer à influencer positivement la société française.

Formation, engagement politique et jeunesse

Stéphane Rozès est né dans le 15e arrondissement de Paris 1er en 1957 dans une famille « plutôt bourgeoise ». Son père était directeur commercial, tandis que sa mère était directrice d’école. Il fréquente le collège parisien Stanislas et le pensionnat de Fontainebleau Saint Aspais.

Après une éducation catholique formatrice (scoutisme, retraites chez les Bénédictins), il est membre du Parti Socialiste et de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) des années 1970 aux années 1980. Il a contribué à la création du Mouvement citoyen (MDC) en 2011. Sa mémoire à Max Gallo, qui fut président de la fondation Mouvement citoyen, tournerait autour de « la fierté d’être français » et aurait lieu en novembre 2017.

Pendant ses études supérieures, il a obtenu un certificat en philosophie politique et une maîtrise en gestion sociale et économique. L’École capésienne d’économie et de sciences sociales et la Section politique, économique et sociale de Sciences Po Paris le comptent parmi ses anciens élèves.

Expertise dans le domaine

Il débute son parcours académique à l’Institut BVA, se forme auprès de Jérôme Jaffré à la Sofres et devient en 1991 directeur de la recherche d’opinion et d’entreprise à l’Institut CSA. Pendant les dix-sept années suivantes, il occupe le poste de directeur général, poste qu’il occupe jusqu’en 2009.

Entre 1991 et 2009, il a supervisé les opérations d’estimation du CSA et a animé les soirées électorales de France 3 et de France Inter. Il a brisé la glace en étant le premier sondeur à proclamer le triomphe de Jacques Chirac face à Édouard Balladur, à la mi-février 1995.

A l’aide d’un baromètre du mouvement social qu’il a établi, il est le premier à déterminer que les deux tiers des Français soutiennent le mouvement social de 1995. Il collabore ensuite avec le sociologue du travail Henri Vacquin pour inventer le terme de « grève par procuration » de l’opinion publique, qui a été très efficace.

Jacques Chirac battrait Lionel Jospin en 2000-2001, selon sa prédiction. Après que le « oui » ait chuté de façon spectaculaire après le débat sur la directive Bolkestein, il a été le premier sondeur à prédire que le « non » remporterait le référendum sur la Constitution européenne dans un sondage CSA pour Le Parisien le 28 mars 2005.

Des communistes à Philippe de Villiers, Claude Chirac (après l’assassinat de Jacques Pilhan), Nicolas Sarkozy et même François Hollande faisaient partie des hommes politiques avec lesquels il a secrètement collaboré. Il a été sondeur puis consultant auprès de seize candidats présidentiels différents au cours de quatre élections ; il s’agissait notamment de François Hollande (2012), Nicolas Sarkozy (2006-2007) et Jacques Chirac (2002-2003).

Il préside depuis 2009 Cap (Conseils, analyses et perspectives), cabinet de conseil spécialisé dans l’opinion, la marque et la conduite du changement. Selon elle, elle « conseille essentiellement les dirigeants d’entreprises, de collectivités ou d’États [sic ]”. Parmi ses travaux notables pour la Principauté de Monaco figurent ses fonctions d’expert en opinion et en image de 2009 à 2015.

En 2015, dans le cadre de la Cop21 à Paris, il a également été désigné expert national pour le débat sur la transition énergétique et la consultation mondiale sur la lutte contre le changement climatique. Il enseigne les sciences sociales et enseigne actuellement le cours « Le poids de l’image et de l’opinion dans les décisions des acteurs économiques et politiques » à Sciences Po Paris en tant que maître de conférences depuis 1991.

Capital immatériel et image de l’entreprise, était son cours études à l’École des Hautes Études Commerciales de Paris (HEC) entre 2009 et 2012. La politique, l’économie, la société et les médias sont autant de domaines dans lesquels il intervient, tant sur papier qu’à l’écran. France Culture (« Le monde selon Stéphane Rozès »), Public Sénat, BFM Business et France Inter l’emploient comme éditorialiste.

Son implication au sein de la fondation Marc-Bloch remonte à sa création le 2 mars 1998. Parallèlement, il écrit des chroniques pour l’émission de Patrick Buisson sur LCI et est actionnaire de Politique Opinion, gérée par Buisson. Il a cofondé Anima Mundi et est membre du Conseil d’orientation d’Aspen France depuis 2013. Au Collège des Bernardins de Paris, il fait partie à la fois du Cercle Montesquieu et du Forum.

Il est membre actif de plusieurs ouvrages collectifs qui abordent des questions de société en France, en Europe et dans le monde. Il écrit pour la revue Gallimard Le Débat. Études et Commentaire comptent parmi les revues auxquelles il contribue occasionnellement. “L’Imagination française”, c’est le titre de son prochain livre, qu’il écrit pour Gallimard. Stéphane Rozès siège au conseil scientifique de l’Institut Rousseau.

Vie privée

Son domicile est à Bourg-la-Reine, Hauts-de-Seine, et il a deux enfants. Un “cancer collant” qu’il a combattu et vaincu en 2002 avait 14 ans. Il aime écouter la musique de Bach et court de grandes distances. Un ancien radical, aujourd’hui à la tête de l’institut de sondage CSA-Opinions, décrit avec beaucoup d’intensité “le désenchantement entre nos concitoyens et les élus”.

Stéphane Rozès se cache derrière sa propre « schizophrénie » pour expliquer pourquoi il ne veut pas se voir illustré dans les colonnes du Monde. Le responsable du CSA-Opinions, conscient de son caractère grégaire, est à la fois heureux et inquiet de faire l’objet d’attention pour changer.

Que pouvons-nous déduire de son discours qui pourrait endommager l’un de ses « chapeaux » ? Son histoire de militant ou le besoin d’objectivité dans son travail ? Ses liens avec les puissants ou ses pensées envers « le peuple » ? Qu’il s’agisse de ses analyses publiques des tendances d’opinion ou des conseils privés qu’il donne à ceux qui veulent les prédire ? Un rendez-vous « au premier étage de Flore » dans le but de « faire connaissance » est prévu.

Stéphane Rozès habite à Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), et après quelques alertes tombées, une autre suivra au rez-de-jardin de sa propriété. Alors que nous étions sur le point d’entrer, début avril, le politologue nous a présenté deux feuilles de calcul remplies de graphiques et de statistiques.

Conclusion: Une Histoire de Courage et de Résilience

Stéphane Rozès est un exemple inspirant de courage et de résilience. Son combat contre le cancer et son retour à une vie professionnelle active témoignent de sa détermination et de sa force intérieure. Son histoire continue d’inspirer et de motiver de nombreuses personnes à travers le monde.

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